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18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 11:11

Le gars crie toujours ! "Mudguys, quel est votre métier !?".

Et on répond toujours "LA BOUE ! LA BOUE ! LA BOUE ! ".

Par contre, je suis moins entrainé, j'ai toujours ma tendinite, j'ai pris 4 kilos, nos amis ont du déclaré forfait.... mais on est toujours là !

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21 juillet 2015 2 21 /07 /juillet /2015 16:17

Et le type hurle encore une fois : "Mudguy, quel est ton métier " ?

Et on hurle en chœur : "LA BOUE ! LA BOUE ! LA BOUE " !

 

 

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16 octobre 2014 4 16 /10 /octobre /2014 14:34

Bordeaux, 16 octobre 2014

 

Mais qu'est-ce que c'est que ça ?

Je vais m'inscrire dans la foulée pour 2015 !

http://www.themudday.com/fr/homepage.html

 

J'ai peut-être enfin trouvé une petite compétition sportive sans prise de tête, sans chrono et avec un petit coté délire. Cool, non ?

 

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 13:11

  C'est quand même incroyable : je cherchais tranquillement sur Internet des infos sur un logiciel et je tombe je ne sais comment sur un blog qui parle d'un livre : "J'étais Quentin Erschen".

 

  Visiblement, ce n'est pas l'histoire la plus drôle de l'année mais la sombre histoire d'un drame familial avec quatre enfants.

 

  Par exemple, celui-là : "en vérité Quentin est incapable d'aimer qui que soit, les filles le poursuivent, il est beau, intelligent, surdoué, mais inapte à la vie en société".

 

  Ou elle : "Natacha est la petite voisine, fille unique, elle passe tout son temps libre avec les trois enfants Erschen, complètement happée par eux et attirée irrésistiblement par Quentin l'aîné des garçons, Quentin lui n'aime pas Natacha".

 

  Et un résumé tout aussi joyeux : Natacha savait qu'il était inutile de rêver que le monde se figeât à un instant et pour toujours, mais quelques images du passée resplendissaient  suspendues et immuables, vibrantes et inaltérables  dans sa mémoire, et c'était comme si déjà s'y résumait sa vie, qui ne faisait pourtant que commencer.Ce n'était pas de la nostalgie, elle n'en avait pas l'âge. C'était plutôt la certitude d'avoir déjà vécu tout le bonheur possible et la conviction qu'il ne reviendrait pas.

 

  C'est marrant comme je suis attiré par ce genre d'histoires, je dois avoir besoin de me reconnaitre dedans, je suppose. Je vais donc vite aller me regarder un bon gros film de science-fiction ce soir pour passer à autre chose ! Ou alors me défouler sur un jeu en ligne ! Ou aller aller au sport... Ah non, pas le sport, je récupère Nina ce soir ! Argh !

 

Ceci dit, depuis 15 jours, je fais attention à mon alimentation, il suffirait de me remettre aussi (un peu) au sport et je me sentirais encore plus zen. Comment ça, ça n'a aucun rapport avec ce qui précède ?

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 15:05

Une dernière danse
Pour oublier ma peine immense,
Je veux m'enfuir, que tout recommence,
Oh ma douce souffrance.

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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 00:55

  Tout le monde dort.

J'entends les respirations et je me sens bien.

Je suis votre sentinelle dans la nuit.

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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 08:49

Est-ce que ce sont les paroles ? La voix ?

Elle me touche et me fait du mal et aussi du bien.

 

 

Paroles de Reckoning Song :

No more tears, my heart is dry
I don't laugh and I don't cry
I don't think about you all the time
But when I do - I wonder why

You have to go out of my door
And leave just like you did before
I know I said that I was sure
But rich men can't imagine poor.

One day baby, we'll be old
Oh baby, we'll be old
And think of all the stories that we could have told

Little me and little you
Kept doing all the things they do
They never really think it through
Like I can never think you're true

Here I go again - the blame
The guilt, the pain, the hurt, the shame
The founding fathers of our plane
That's stuck in heavy clouds of rain.

One day baby, we'll be old
Oh baby, we'll be old
And think of all the stories that we could have told.
No more tears, my heart is dry
I don't laugh and I don't cry
I don't think about you all the time
But when I do - I wonder why

You have to go out of my door
And leave just like you did before
I know I said that I was sure
But rich men can't imagine poor.

One day baby, we'll be old
Oh baby, we'll be old
And think of all the stories that we could have told

Little me and little you
Kept doing all the things they do
They never really think it through
Like I can never think you're true

Here I go again - the blame
The guilt, the pain, the hurt, the shame
The founding fathers of our plane
That's stuck in heavy clouds of rain.

One day baby, we'll be old
Oh baby, we'll be old
And think of all the stories that we could have told.
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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 14:03

Bordeaux, 4 septembre 2012

 

"Je suis fatigué patron.
Fatigué de devoir courir les routes et d'être seul comme un moineau sous la pluie.
Fatigué de n'avoir jamais un ami pour parler, pour me dire d'ou on vient, ou on va.
Fatigué de voir les hommes se battre les uns les autres.
Fatigué de toute la peine et de toute la souffrance que je sens dans ce monde."

 

...

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19 avril 2010 1 19 /04 /avril /2010 12:30

Des centaines de pages de brouillon à mettre en page, des sentations et des sentiments , des photos, des histoires, des douleurs, des vies, des guerres, des visages.

 

Je suis serein pour la première fois depuis bien longtemps. Il me reste des blessures qui me feront toujours un peu souffrir, des peines qui ne partiront jamais mais qui seront comme de fidèles compagnes de voyage, des fantômes bienveillants.

 

C'est comme si tout était déjà écrit, que toutes les pièces du puzzle de ma vie s'étaient enfin rassemblées alors que la réponse était terriblement évidente.

 

 

Alors, même si je vais reprende mes écrits, je sais comment je finirai d'écrire cette histoire, je reprendrai quelques phrases de mon tout premier article et je dirais :

 

.../...

 

... Donc, aujourd'hui, vivant dans ce merveilleux sud-ouest de la France en bord d’océan, étant fonctionnaire, qu'est-ce que je fais un superbe dimanche soir d'été  après la plage, un peu hésitant devant mon clavier, à la recherche de ce que je dois dire, un peu empêtré dans mes idées qui se bousculent au lieu de faire un barbecue avec des potes et du pastis ?... Hummm ?

"Zach était assis sur la contremarche de sa maison et perdait son regard au loin. A quoi réfléchissait-il ? A rien peut-être, il laissait simplement arriver la vie en lui. Il entendit d'abord comme un bruit feutré, puis rythmé dans son dos. Quelqu'un approchait.

Ce fut d'abord une main qui se posa sur son épaule, d'abord doucement du bout des doigts puis toute entière. Zach pouvait maintenant ressentir la chaleur du corps qui commençait à s'asseoir à ses cotés.

Des larmes coulèrent sur ses joues, non plus amères comme du sel mais chaudes et délivrantes comme pour confirmer la fin de son long voyage. La femme le regardait doucement. Il arriva à tourner les yeux vers elle et commença à sourire alors que retentissaient les rires de leurs enfants.

 

Je me souviens...

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7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 12:40

Samedi 7 mars 2009

 

  Fichtre ! Encore du beau temps ce matin et ça fait trois jours que ça dure !

 

  J’ai récupéré la veille un bon copain de Lucas. Les deux compères se sont endormis à minuit passé, papotant comme deux mamies dans la chambre !

 

  Je leur prépare un bon petit déjeuner qui se passe dans la bonne humeur. Puis je les accompagne à un jardin d’enfants proche de la maison : ça ralouille un peu au départ mais ils sont ensuite tout contents de se défouler en extérieur.

  Au bout de trente minutes, ils reviennent vrombir autour de moi pour me demander de rentrer : leur jeu Wii est devenu la chose la plus importante du monde à faire ! Nous rentrons et je finis par rejoindre un peu à contrecœur ma cuisine avec son petit tas de vaisselle à faire et le repas de midi à préparer.

 

  C’est une matinée comme je les aime : tranquille et détendue. L’air est léger autour de moi, je sens presque la chaleur du soleil qui irradie mes murs, C’est comme un équilibre délicat, une sérénité que je suis incapable d’expliquer. Je continue ma vaisselle, vaguement satisfait de ce moment privilégié.

 

Puis je discerne quelque chose qui remonte petit à petit à la surface de ma conscience, comme un son particulier qui émergerait d’un brouhaha ambiant, quelque chose que vous n’arrivez pas encore à percevoir mais que votre oreille à décelé et que votre subconscient connait déjà. Mon attention commence à se fixer sur cette nouvelle perception, je ralentis mes gestes, je relève un peu la tête, curieux.

  Je n’arrive pas de prime abord à le définir alors je repose ma vaisselle dans l’évier et je ne bouge plus. Ca y est, je ressens maintenant pleinement cette sensation de plénitude et je vais pouvoir trouver d’où elle vient.

 

  Mon regard s’égare dehors et se pose sur mon petit jardin et sa vieille haie, sur les rayons du soleil qui jouent avec les branches du pin parasol sur le chemin. Il glisse sur ma moto garée dans l’allée, sur les ceps de vignes fraichement retaillés et le vieil olivier tout rabougri. Je respire longuement et des senteurs printanières se dévoilent. Mais ce n’est pas encore ça.

  Puis j’écoute les enfants en train s’amuser dans le salon à coté : leurs cris stridents devant le jeu vidéo qu’ils utilisent, leurs explications embrouillées des règles, leurs onomatopées, le canapé qui gémit sous leurs bondissements et le crissement des pieds de la table basse bousculée par quatre petits pieds, leurs rires entiers qui occupent tout l’espace…

 

Stop ! C’est ça ! Oui, c’est ce son remarquable parmi d’autres qui m’a fait dresser l’oreille, qui m’a fait stopper toute activité depuis quelques secondes ; ce son qui m’arrive et se diffuse en moi comme une caresse douce et apaisante, ce son qui forme sur mes lèvres un sourire, qui me fait fermer les yeux pour mieux m’emporter, qui détend mes épaules et leur enlève un poids trop lourd, ce son clair qui vient de la pièce d’à coté.

 

  Oui, je le reconnais, il vient de tellement loin, pourtant, du fond de ma jeunesse, il déborde ma peine insurmontable, il balaie d’un coup mes soucis et nettoie mes plaies, il efface mes tracas et mes soucis. Il est ma lumière.

 

  Le rire des enfants.

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