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18 septembre 2007 2 18 /09 /septembre /2007 21:38

Toulouse - Mardi soir 18 septembre 2007

  Nous sommes dans notre chambre d'hôtel ; neutre, propre, un grand lit, une petite table ronde, un fauteuil et un canapé anguleux, une longue planche de bois contre un mur qui sert de bureau avec une grosse télé posée en bout.
  En arrivant à l'hôtel, nous avions d'abord décidé de nous installer tranquillement puis de diner. En revenant vers notre chambre, nous sentions de nouveau monter notre désir commun.
  Nous rentrons. Fred se retourne brusquement, se colle si fort contre moi que j'en suis presque déséquilibré. Sa bouche heurte la mienne, sa langue cherche la mienne et je sens son bas-ventre se plaquer contre le mien. Toujours enlacés, nous nous dirigeons vers le lit en enlevant nos vêtements. Elle est évidemment nue avant moi, je parcours son corps, je m'attarde d'abord sur ses seins fermes puis sur sa gorge que j'aime sentir sous mes mains.

  Elle s'assoit au bord du lit et porte déjà mon sexe dans sa bouche, je sens aller et venir ses lèvres humides autour. Elle s'arrête parfois pour reprendre son souffle et passe alors sa langue à la base de mon membre, elle prend ensuite chacune de mes bourses dans sa bouche et exerce une légère succion qui me donne presque envie de jouir.
  Je laisse passer quelques secondes puis mon envie est trop forte, je la couche sur le dos, une main plaquée sur sa poitrine et je rentre en elle. Pendant quelques minutes, je bouge en elle en la regardant, je la vois parfois que ferme les yeux en souriant, puis elle les rouvre et cherche mon regard. Elle commence ensuite à vouloir bouger, j'essaie de la plaquer plus fort mais elle se dégage en force et se retourne de trois-quarts sur le ventre, son genou droit remonté, ses bras au-dessus de sa tête. Je pénètre de nouveau en elle, je caresse avec envie ses fesses, puis au bout de quelques minutes, mon rythme s'accélère et ma main claque plusieurs fois pendant que Fred gémit.
  Je ralentis, je sors d'elle et la remet sur le dos. Mon sexe monte jusqu'à son visage, mes jambes sont posées sur ses avant-bras pour la plaquer, je rentre dans sa bouche. A chaque fois que je pousse trop loin mon sexe dans sa gorge, elle me mord sans ménagement et je grogne de douleur.

  Fred est essoufflée, elle me dit : "Fais-le, fais-le devant moi !". J'hésite mais je m'exécute. Ce que je fais me semble le comble du dénuement et de l'abandon ; seule la confiance totale que j'ai en Fred me permet de prendre mon sexe dans ma main et de commencer à me masturber devant son visage. Parfois sa langue s'attarde à la base de mon sexe ou sa bouche embrasse mes boules.
  Je lui dis ce que je veux aussi alors elle avance encore plus vers le bord du lit, sa tête rejetée en arrière. Je me mets à genoux devant son visage et je rentre de nouveau dans sa bouche, d'abord à petits coups, puis parfois je m'arrête et je cherche à enfoncer tout mon sexe en elle, je sens ses soubresauts quand j'atteins sa gorge et je me retire en attendant quelques secondes puis je recommence.

  - reviens sur les genoux, montre-moi tes fesse et mets tes mains dans le dos, lui dis-je.

  Alors, elle s'exécute, m'offre sa croupe, je ne cherche pas à la sodomiser, ce n'est pas notre envie du moment, mon sexe pénètre encore le sien, je vais en elle régulièrement mais doucement, je cherche le rythme qui lui plait, je suis attentif au moindre de ses frémissements. Puis je prends la longue ceinture de son manteau posé par terre à coté de nous, je croise ses poignets et fait d'abord un tour de ceinture dans le sens vertical puis un tour dans le sens horizontal : impossible pour elle maintenant de se dégager. J'accélère maintenant mon rythme, d'une main je tiens fermement la ceinture et tire un peu dessus pour rmonter encore plus ses bras dans le dos. Je continue toujours plus fort en elle, je sais que je peux jouir dans une minute ou deux, j'entends maintenant les cris de plaisir de Fred, je passe finalement le reste de la ceinture autour de son cou, je fais un tour et je serre un peu. A chacun de mes coups de reins, la ceinture rentre un peu plus dans ses chairs. Fred est maintenant complètement contrainte, les mains attachées dans le dos et la ceinture tendue qui tire plus fort sur son cou. Encore quelques secondes et je jouis en elle, Fred m'a déjà précédé de quelques instants. L'intensité est telle que des points lumineux papillonnent devant mes yeux. Je relâche la ceinture puis je détache Fred. Nous restons longuement collés l'un à l'autre, nos corps et nos esprits rassasiés, apaisés.

Puis nous nous endormons.

Dans la nuit, nous nous réveillons et refaisons l'amour.

Puis de nouveau au réveil. Au moment où mon sexe touche le sien, je peux senti son désir perler et je rentre au fond d'elle en une seule et légère poussée.

Nous passerons aussi la nuit suivante à assouvir nos envies et les deux jours de formation fileront comme l'éclair ; puis, le jeudi soir, nous quitterons le centre de formation pour notre première véritable journée de vacances. Nous ne saurons pas où aller, mais nous serons tous les deux et cela suffira à notre bonheur.


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commentaires

L
je voulai juste d'envoyer une tendre pensée......<br /> amicalement <br /> le K
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L
j'ai lu les deux derniers textes il y à quelques jours et je cherche depuis les mots juste pour te dire ce que j'ai resentit ! et comme je n'y arrive pas, je vais tout lâcher telle que sans réfléchir..la première réaction fut la surprise, puis l'excitation, puis l'envie et enfin j'ai sourit en pensant à vous deux et à ce bonheur naissant.votre amour est entier, sans limite et je trouve cela sublime, soyez heureux profitez en et surtout CARPE DIEM. je vous embrasse<br /> le K
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